Volent, entre nos forces en présence, les traits diaphanes de l'altérité !
Vole, en attaquant ma division, au secours de mon unité !
Vole chez moi, dans l'alcôve la plus enfoncée de mes entrailles, pour m'annoncer la nouvelle du fer !
Vole-moi, lune gibbeuse, — comme le faucon hobereau vole l'alouette, — inverse miroir de mes jours !
Vole, à son pédoncule de nuit élargi en plateau, ravi, l'abîme aux ailes déployées entre nos corps,